Oui, nous devrions pouvoir assumer pour la protection des Français les mesures vitales et, disons-le, parfois brutales qui doivent être prises face à la crise sanitaire. Elles sont vitales car c'est de la vie des Français qu'il s'agit, quel que soit leur âge, quel que soit leur territoire. Si nous procrastinons, si nous avons la main qui tremble devant le risque de l'impopularité, alors ce sont nos concitoyens que nous enverrons en première ligne, et les soignants à qui nous dirons demain : choisissez ! Choisissez qui est prioritaire, qui peut vivre et qui peut mourir !
J'entends que certains préfèrent soigner des clientèles électorales plutôt que de se donner les moyens de soigner les Français.