Le Gorafi semble être parfois devenu la norme dans une partie de la classe politique française mais ce n'est pas drôle ; c'est désespérant. Merci aux faux prophètes qui savent aujourd'hui ce qu'il aurait fallu avant-hier ! Merci aux diseuses de bonne aventure qui ont tout vu et tout su avant les autres, avant les épidémiologistes, avant les scientifiques, avant les soignants ! Merci à ceux qui ont la chance inouïe d'être emplis de tant de certitudes !