Merci d'être revenu parmi nous, monsieur le Premier ministre. Mes chers collègues, dans ces circonstances effroyables, il est difficile de poursuivre ce débat, difficile de regarder ailleurs que vers Nice, et même Avignon. Une fois de plus, c'est Marianne qu'on décapite. Nous ne pouvons plus nous contenter d'hommages, de minutes de silence. Mais puisqu'il faut poursuivre, poursuivons, en serrant les dents, en serrant les poings, en pensant très fort à Nice, à ses victimes et à ses forces de l'ordre.