J'aurai le même avis, monsieur le président.
Je suis frappé par l'absence manifeste, dans ces débats et sur les réseaux sociaux, d'un juste milieu. Par exemple, votre collègue Simian, avant de quitter l'hémicycle, vient de prétendre que le Gouvernement s'était opposé ce matin à tout investissement en faveur de la forêt. Mais, de mémoire de parlementaire, y a-t-il eu, depuis vingt-cinq ou trente ans, un ministre de l'agriculture qui se soit battu pour qu'il soit investi autant d'argent – 200 millions d'euros – dans la forêt française ?