… ou d'augmenter les salaires.
Je ne répéterai pas les arguments de mes collègues.
Je profite de cette occasion, monsieur le ministre, pour vous dire que si vous avez accordé tout à l'heure 3 millions aux collègues de l'opposition – pour vous, votre ancien parti politique – , vous aurez sans doute à coeur de nous en accorder autant. Ne vous inquiétez pas, à Montreuil et en Seine-Saint-Denis, nous en aurons besoin. J'ai trouvé que votre argumentation de tout à l'heure était un peu facile, monsieur le ministre : vous savez, les mesures d'austérité nous touchent tous.
Voilà mon amendement de suppression, en vous priant de m'excuser pour cette digression.