mais nous avons assisté hier, en commission des lois, à des attaques inadmissibles dirigées contre nos collègues sénateurs, disant qu'ils n'avaient rien compris. Ils avaient pourtant adopté l'amendement en question à l'unanimité !
Puisque ce n'est pas suffisant, nous vous proposons que les préfets tiennent compte de la situation sanitaire de leur département pour décider – ou non – de l'ouverture des commerces de proximité. Il est normal qu'une différenciation s'opère, de manière objective ; c'est ce que nous vous proposons et, encore une fois, c'est une mesure de bon sens.