Traduisez-le autrement si vous le voulez !
J'en terminerai avec les aspects démocratiques. Vous ne voulez pas que le Parlement se réunisse au sujet de l'état d'urgence d'ici au 1er avril. Vous voulez un long couloir, un long printemps qui succédera à un long hiver, sans que le Parlement puisse s'exprimer. Ce soir déjà, en demandant la réserve de vote, vous nous privez de notre expression, celle de la représentation nationale.