Ils relèvent de la même préoccupation.
Nous nous inquiétons de l'augmentation du nombre de gens qui auront accès à des données de santé, donc sensibles. Elles sont déjà accessibles aux médecins et le seront à des professionnels de santé, ce qui représente énormément de monde et reste assez vague.
De même, le texte prévoit que les données soient accessibles aux personnes chargées de l'accompagnement social des personnes infectées ou susceptibles de l'être. Cet élargissement nous inquiète également, eu égard à la nature des données rendues accessibles à un nombre indéfini de gens.