Il y a deux semaines, vous déposiez une motion de rejet préalable lors de la première lecture de ce texte. À cette date, nous pouvions penser que vous n'aviez pas pris la mesure de la gravité de la situation. Aujourd'hui, vous êtes toujours dans le déni.
Au moment décisif d'adopter ce texte, vous vous opposez. Au moment décisif de prolonger l'état d'urgence sanitaire pour combattre la deuxième vague de l'épidémie, …