Vous avez échoué à ouvrir de nouveaux lits de réanimation. Vous avez failli dans l'organisation des rentrées universitaires et lycéennes, à tel point que vous êtes en train de revenir dessus.
Alors je vous en conjure : écoutez la voix des oppositions. Je ne sais pas pourquoi vous applaudissiez : parce que vous entendiez des propositions acceptables et que vous étiez pour une fois capables de les écouter, ou parce que vous étiez enfin parvenus à vous présenter à l'heure à une séance du Parlement ?