La prorogation du régime transitoire jusqu'au 1er avril figurait déjà dans le précédent projet de loi que nous avons voté le 1er octobre, mais dont la discussion a été interrompue. La majorité de l'Assemblée nationale n'a pas dévié de sa position sur cette question : il est indispensable de ne pas prévoir de sortie sèche de l'état d'urgence sanitaire.
La transition organisée en juillet dernier a fait ses preuves : nous devons anticiper la sortie de l'état d'urgence sanitaire, et ce jusqu'à la clause de revoyure prévue le 1er avril prochain. L'avis est donc défavorable sur ces amendements.