Plusieurs sujets sensibles nous ont attendris ce soir et je veux y revenir pour apporter un peu d'apaisement à cette heure du débat.
S'agissant des conditions d'examen des projets de loi de finances, elles ne sont pas nouvelles et nous les connaissons. Il n'est pas étonnant, étant donné la crise et les mesures inédites qu'elle appelle, que ces conditions soient encore plus particulières cette année. Nous avons du mal à tous les accepter, mais il est de notre responsabilité de les assumer. Si nous avons choisi d'être là, c'est précisément pour accompagner notre pays dans les épreuves qu'il affronte !