Je partage en particulier la seconde partie de l'argumentation du rapporteur général. Le dispositif proposé perdra en effet de son sens dans deux ans avec la fin de la taxe d'habitation sur la résidence principale. Il nous paraît peu logique, pardonnez-moi, d'instaurer un mécanisme conduisant à une augmentation d'impôt, y compris appliqué à des résidences qualifiées de secondaires. Avis défavorable.