Je précise que l'amendement porte essentiellement sur les actions de prévention. Actuellement, la sylviculture n'est pas protégée, ni même prise en considération ; souvent, les propriétaires doivent protéger eux-mêmes leurs plants et la forêt. À vous écouter, j'espère que nous évoluerons sur le sujet, tant pour le monde agricole que pour celui de la sylviculture, premier concerné puisqu'il n'est pas indemnisé. Je retire l'amendement, dans la perspective de continuer le travail avec Bérengère Abba.