Il concerne également la lutte contre l'artificialisation des sols, qui doit constituer une priorité. À cet égard, les places de stationnement automobile, qui ne font pas partie des projets d'urbanisme orientés vers la bifurcation écologique, doivent être limitées. Aujourd'hui, une place de stationnement en extérieur est moins taxée qu'une place de stationnement dans un parking souterrain.