Il précise qu'au moins un représentant issu de chacune des collectivités ultramarines participe au pôle du CESE dédié à la cohésion sociale et territoriale et à la vie associative.
Je comprends votre position, monsieur le garde des sceaux, mais réfléchissez, je vous en prie, d'ici à la prochaine lecture du Sénat et à la suite de la procédure parlementaire. Vous avez accepté de passer à huit le nombre de membres ultramarins. Pourquoi ne pas nous accorder simplement trois places supplémentaires ? Une telle augmentation ne nous empêcherait nullement de respecter la réduction d'un quart du nombre de membres du CESE : en relevant le nombre total de membres du CESE à 178 au lieu de 175, nous serions encore à 24 % de baisse…
J'essaierai de vous convaincre jusqu'au bout, monsieur le garde des sceaux : jusqu'à la lecture définitive !