Ce sujet, dont vous avez vous-même souligné l'importance, ne prête pas à rire. Il est suffisamment complexe pour qu'on n'entre pas dans la polémique politicienne sur les effectifs, monsieur le député des Bouches-du-Rhône. À ce jeu-là on finirait assez vite par dire que si on n'en avait pas supprimé auparavant, il y en aurait plus aujourd'hui.