Monsieur Lagarde, je souscris tout à fait à votre constat et que nous poursuivons les mêmes objectifs, mais ces dispositions relèvent du domaine réglementaire. Je l'ai déjà dit : je me suis engagé à ouvrir ces fichiers, à l'exception des fiches S. Mais dans le FPR, il n'y a pas que les fichés S : beaucoup de gens y figurent. Je le dis aussi, bien sûr, à M. Houbron et aux autres parlementaires qui ont déposé des amendements semblables : oui, les policiers municipaux doivent pouvoir avoir accès à ces fichiers de personnes recherchées, à l'exception des fichiers de renseignement. C'est ce que j'ai toujours dit – et je suis désolé, monsieur Ciotti, d'être l'objet de votre obsession. Je ne referai pas le débat portant sur les ESI – étrangers en situation irrégulière – , mais je ne peux que vous répéter, comme je vous l'avais dit en commission, que vous devriez mieux travailler ces dossiers. Par ailleurs, ne traitez pas M. Schellenberger de M. Di Filippo, car c'est une insulte insupportable.