Monsieur Peu, j'ai été très claire, nous aussi souhaitons lutter contre la précarisation dans le secteur de la sécurité privée.
Simplement, je ne peux pas vous laisser dire dans l'hémicycle que ce secteur, c'est uniquement de l'esclavage généralisé et uniquement du travail dissimulé. On ne peut jeter ainsi l'opprobre sur toute une profession.