Si vraiment nous sommes dans le deuxième cas de figure, celui de l'insulte et de la posture, alors je me rassieds et nous ne débattons pas ! Pour débattre, permettez-moi au moins de présenter mes arguments. Je vous respecte en tant qu'élu de la nation et je suis prêt à confronter mes idées avec les vôtres, mais j'attends de vous la même chose.
Notre débat n'a rien à voir avec la condition de nationalité. Nous parlons des étrangers possédant une carte de résident.