Je soutiendrai l'amendement de M. Bernalicis. Je comprends les arguments qui sont avancés s'agissant des exigences du secteur de la sécurité, mais la condition imposée par la proposition de loi entraînera des difficultés supplémentaires pour les réfugiés qui viennent d'obtenir leur statut et qui peinent à se loger. En Île-de-France, 50 % seulement d'entre eux sont logés. Les autres sont à la rue.