Deuxièmement, je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas écouter les voix des associations, des oppositions et de la Défenseure des droits. J'ai dit qu'il arrivait de temps en temps qu'elle ait tort, y compris sur le plan juridique. C'est un constat.
Troisièmement, je ne vois pas très bien – j'avoue que cela dépasse ma compréhension, mais elle est sans doute très limitée – comment on peut s'opposer d'une part au fait de demander à des gens qui vont travailler dans le domaine de la sécurité privée – et, plus généralement, qui veulent s'intégrer à la nation française – de maîtriser le français – …