En réalité, il y a deux sujets dans ce débat. Il y a d'abord celui de la vidéosurveillance : cela fait très longtemps qu'on a compris l'intérêt de ces dispositifs et même la gauche la défend dans beaucoup de structures locales, communes ou conseils régionaux.
La vraie question ici est de savoir si on peut étendre à l'infini le nombre des personnes autorisées à visionner les vidéos issues des dispositifs de vidéoprotection. Ce n'est quand même pas anodin : il s'agit de la protection de la vie privée !