On peut tout à fait – vous avez cité Orwell, et l'on pourrait citer d'autres romans ou séries d'anticipation – poser la question de la nature d'une société des images, en se demandant si c'est une bonne société, qui respecte la vie privée ; c'est un débat politique légitime mais, si l'on part du principe que les images peuvent être diffusées, moyennant bien entendu un encadrement, notamment pour le respect de la vie privée, …