C'est la deuxième, voire la troisième fois que le collègue Lagarde me cible dans le but de dévaloriser un propos politique au travers d'une attaque ad hominem. Non, il ne s'agit pas de théories fumeuses. On est libre d'exprimer un désaccord, pourvu qu'on connaisse ce dont on parle. Si vous aviez été présent, collègue Lagarde, vous auriez constaté que mon propos n'était pas du complotisme…