Vous aimez beaucoup les policiers, mais vous leur refusez, malgré nos arguments et les compromis intervenus, la protection offerte par l'article 24.
Vous aimez beaucoup les policiers, mais vous leur refusez le droit d'utiliser les images, à commencer par celles que fournissent les caméras-piétons. Il ne faudrait surtout pas que les policiers puissent les regarder, ni répondre aux accusations ignobles que l'on porte contre eux.