Ils se fichent de ces distinctions ; ce qui compte, c'est l'uniforme.
J'ai déjà eu l'occasion de le dire, mais je le rappelle parce que j'en suis persuadée : tous ceux qui portent des uniformes sont aujourd'hui des cibles. Les distinctions de prérogatives ou de pouvoirs entre les policiers municipaux et les gardes champêtres, quoique réelles, n'ont ici aucune importance.
Je ne vois donc pas pourquoi nous n'appliquerions pas cette mesure aux gardes champêtres et aux ASVP.