Ces amendements sont intéressants, mais il y a un trou dans la raquette : qu'en est-il des fonctionnaires de police envoyés en renfort sur des missions hors de leur territoire et qui, de fait, sont logés quelques jours à l'hôtel ? S'ils ne peuvent pas y laisser leur arme de service, parce qu'il n'y a pas de coffre sécurisé, et qu'il n'y a pas non plus de place à l'hôtel de police pour la leur garder, comment font-ils ?
Ces exemples-là viennent du terrain, c'est du vécu ! Heureusement, ce sont des histoires qui se sont bien terminées, mais il aurait pu en être autrement. Prenons le cas de fonctionnaires de police en renfort dans un autre territoire, donc, qui sortent s'amuser et, sans consommer d'alcool, entrent dans un débit de boisson – je vous rappelle que c'est possible. Ils en ont le droit, puisqu'ils respectent la règle et ne consomment pas, seulement, ce sont des lieux où l'on danse, aussi ; parfois même à deux – enfin, cela fait presque un an qu'on ne danse plus en France, mais c'est un autre débat…
On danse, donc, et parfois, on fait des rencontres. Et il est arrivé qu'en s'approchant un peu, des jeunes filles sentent alors quelque chose de dur…