Nous avons déposé des amendements similaires. Quel message enverrions-nous en ne votant pas ce sous-amendement ? Madame la ministre déléguée, la question ne se pose pas pour un donneur d'organes qui serait hospitalisé à la suite de son passage aux urgences, puisque dans ce cas, le forfait ne s'applique pas. Monsieur le rapporteur général, le donneur, en cas de complications, ira généralement à l'hôpital où il s'est fait prélever ; il n'y a donc pas de problème d'anonymat. Je pense que cette mesure est simple, ne coûte pas cher et, en même temps, envoie un merveilleux message aux donneurs d'organes.