Cet amendement rédactionnel me donne l'occasion de dire brièvement un mot : il ne s'agit ni de victimiser ni d'affirmer la fierté d'un accent – le problème n'est pas là. Il ne s'agit que de faire collectivement oeuvre utile en ouvrant un débat et en posant un premier jalon, avant le projet de loi sur l'audiovisuel que nous examinerons bientôt et dans lequel nous pourrons, de manière peut-être plus constructive encore, encourager la signature de chartes et d'accords destinés à promouvoir la France des accents, à laquelle je constate que nous sommes tous profondément attachés.