Madame la rapporteure, je constate que, depuis nos échanges en commission, nous sommes restées l'une et l'autre sur nos positions, mais je souhaite vraiment que ce débat se poursuive. Puis-je espérer que M. le secrétaire d'État s'engage à être particulièrement attentif, dans les prochains mois et les prochaines années, aux questions relatives à la santé mentale, afin que l'on cesse de raisonner systématiquement en séparant médecine et chirurgie obstétrique, d'une part, et santé mentale, d'autre part. Nous devons privilégier une approche coordonnée dans les territoires, une approche transversale.