Cet amendement vise à donner plus de souplesse encore aux établissements qui le souhaitent pour leur permettre d'organiser librement en interne la gestion des structures médicales et médico-techniques, de la CME, de la commission des soins ou du directoire.
On a vu que l'autonomie avait fonctionné, et les conclusions de la mission confiée au professeur Claris ont confirmé le besoin d'une plus grande souplesse dans l'organisation. Il faut donc faire confiance aux territoires et au monde hospitalier pour trouver l'organisation qui leur convient et procéder, s'il le faut, à des ajustements en cours de route.