Quand nous avons débuté l'examen de la proposition de loi visant à améliorer le système de santé par la confiance et la simplification, le groupe Libertés et territoires a constaté deux problèmes. Premièrement, il n'améliorait pas du tout le système de santé et le complexifiait même jusqu'à le rendre incompréhensible. Deuxièmement, il ne renforçait pas la confiance mais plutôt la défiance, tant il suscitait d'oppositions. Comme disait ma grand-mère, ce n'était vraiment « ni fait ni à faire ». Du reste, quand on voit la façon dont certains partenaires de la majorité chancellent, on s'interroge sur les conditions dans lesquelles ce texte a été écrit.