Je ne reviens pas vingt-quatre ans en arrière, monsieur le secrétaire d'État, mais à l'intérêt supérieur de l'enfant. On parle ici de la possibilité, pour des personnes seules – c'est-à-dire des familles monoparentales – , d'adopter un enfant. Or vous nous avez expliqué en long, en large et en travers, il y a à peine quelques mois, que ce sont ces familles-là qui sont le plus touchées par la pauvreté et que vous souhaitiez y remédier. Où est l'intérêt supérieur de l'enfant quand on favorise son adoption par une famille monoparentale ?