Bon sang, si vous pouviez arrêter cinq minutes de hurler, nos débats seraient plus faciles.
On peut peut-être, disais-je, se demander s'il ne vaut pas mieux pour un enfant qui a connu des moments difficiles dans la vie qu'il soit adopté par un foyer familial stable plutôt que par un foyer monoparental, lequel, par définition, connaîtra probablement davantage de difficultés qu'un autre.