Pour ma part, chers collègues, je souhaite – comme chacune et chacun d'entre vous, j'en suis convaincu – que la France reste la France.
Face aux islamistes, ces ennemis de la République, que nous connaissons, que nous avons identifiés, et que le Président Macron a enfin osé nommer dans de très beaux discours, force est de constater que nous ne pouvons plus continuer à faire preuve de la naïveté qui nous a tellement affaiblis.