Monsieur le ministre, la République de l'Artsakh, où je me suis rendu régulièrement, s'est autoproclamée en 1991. C'est une démocratie dotée d'un Président de la République, d'un gouvernement, de parlementaires. Nous aurions pu prendre l'attache de ce pays comme nous l'avons fait pour le Kosovo.
Je suis persuadée que le vote de cet après-midi qui, je l'espère sera favorable, comme celui de la semaine dernière au Sénat, rendra service à l'Arménie, à l'Artsakh, mais aussi à la France et au Gouvernement. Il constituera un levier supplémentaire dans les négociations que vous devez mener – et qui sont difficiles, j'en conviens.