Cet amendement de mon collègue Fabien Di Fillipo vise à préserver l'intérêt supérieur de l'enfant, en n'ouvrant pas l'adoption aux couples vivant en concubinage. Si seul l'intérêt de l'enfant prime, comme vous semblez vouloir l'afficher, il est préférable d'offrir à celui-ci autant de garanties et de protections que possible.
Or la fin d'un concubinage n'impose pas d'obligations particulières aux parents ni ne garantit de droits spécifiques à l'enfant. Le concubinage est le cadre légal le plus faible pour assurer l'intérêt de l'enfant.