Monsieur Breton, je représente ici l'avis de la Chancellerie. Je ne reprendrai pas les arguments de fond : ils sont similaires à ceux de la rapporteure, et la Chancellerie les partage. Nous avons, bien évidemment, préparé ce texte et les réponses aux amendements, notamment ceux portant sur le code civil, avec la Chancellerie, dont une des représentantes est au banc, à mes côtés.