Encore faudrait-il, monsieur le ministre, que la filière survive à la crise. Hier matin, une entreprise de filatures m'a signalé qu'elle ne pourrait pas bénéficier du report de paiement des cotisations URSSAF, par exemple, en raison de son code APE. Elle ne comprenait pas pourquoi les commerces de textile pouvaient en bénéficier et pas elle, alors qu'il n'y a pas de vêtement sans fil. Il faut donc prendre en considération l'intégralité de la chaîne de production. Il faut aussi, au-delà des investissements pour l'avenir, leur permettre de résister aux chocs actuels.