Plutôt que l'inaction dans laquelle vous vous complaisez en définitive, nous proposons de planifier, grâce à des moyens juridiques, financiers et humains importants, une complète bifurcation écologique et solidaire.
Il faut par exemple octroyer les moyens humains et financiers nécessaires à l'État et à ses opérateurs publics ; pénaliser les mésusages et les gaspillages des biens communs comme l'eau ; protéger les habitats et les espèces ; bannir les pesticides ; instaurer des zones tampons ; lutter contre l'artificialisation des sols et gérer durablement l'eau ; éradiquer la maltraitance envers les animaux ; interdire le glyphosate et les néonicotinoïdes, et rendre justice aux victimes du chlordécone dans les Antilles ; mettre fin aux accords commerciaux internationaux climaticides.
C'est ce qu'exige aujourd'hui la situation et ce que nous engagerons une fois au pouvoir.