Il revient évidemment aux pays et aux peuples concernés d'en décider souverainement, mais, forts de notre expérience en la matière, nous pouvons nous permettre de le rappeler.
La France doit être à sa place : celle d'un partenaire, d'un pays ami qui apporte son soutien sur des bases équitables, dans le cadre d'une relation apaisée et désormais tournée vers l'avenir et pour la stabilité et la prospérité de ces nations et de leurs habitants.