Mais il ne s'agissait pas, alors de changer le nom du dispositif, mais bien d'en empêcher la création.
Avant, il existait des lieux de vie, par exemple, pour séparer un mineur de son environnement. Ils ont été fermés les uns après les autres. Étaient-ils plus coûteux ? Je ne le crois pas. En revanche, ils exigeaient une plus grande implication de la part des éducateurs de la protection judiciaire de la jeunesse – PJJ. C'est sûr qu'il aurait été compliqué de déléguer au privé la gestion de ces structures ! Or elles ont été peu à peu supprimées au profit de centres fermés. Voilà la réalité.