Il est également défavorable, pour les mêmes raisons. J'ajoute que la maîtrise de la dette et, à terme, sa diminution doivent aussi être au centre de nos préoccupations, d'abord parce que nous n'avons pas les moyens de faire défaut – ce serait folie que de le penser – mais aussi parce que l'annulation de la dette est impossible en l'état actuel des choses. Les travaux que j'ai évoqués lors de mon intervention précédant la discussion générale vont dans ce sens.