En 2019, 1 270 individus figurant dans le FSPRT, le fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, les fréquentaient assidûment, certains même en tant qu'éducateurs sportifs.
Un rapport parlementaire rédigé par deux députés, dont mon collègue Éric Diard, a récemment constaté l'ampleur menaçante de ce fléau ; néanmoins, même le ministère chargé des sports semble n'en avoir pas pris la mesure, préférant opter pour le déni. La demande d'entretien de nos deux rapporteurs n'a pas reçu de suite.