Que la justice soit saisie ou non, vous devez, par une position publique, rassurer aujourd'hui ces familles, non par la parole laconique que vous avez eue en septembre mais par un exposé détaillé. Deux minutes ne sont peut-être pas suffisantes, mais ces deux minutes sont indispensables pour rassurer les personnes autistes, leurs familles et les associations, car jusqu'à aujourd'hui, votre parole n'a pas rassuré mais inquiété.