… c'est votre choix. Nous pensons au contraire que l'urgence climatique nécessite de tels dispositifs.
En première lecture, nous avons déjà porté de deux à trois ans le lissage de celui-ci. Cela protège suffisamment notre industrie automobile, qui du reste n'est pas statique : elle s'adapte, elle innove afin de proposer des véhicules de plus en plus propres.
L'article 14 est en phase avec les attentes et les propositions de la filière ; nul besoin d'étendre à cinq ans le lissage du dispositif. L'avis est donc défavorable.