Je me joins aux propos du président de la mission d'information, Julien Dive. Cette transition hors du glyphosate, entrée au coeur de nos débats ces dernières années, représente un coût financier important pour les agriculteurs, qui peut parfois être un frein. Je pense que la méthode du crédit d'impôt est judicieuse mais elle ne peut se limiter à un ensemble trop réduit de productions agricoles. Il est donc important de l'élargir, notamment aux éleveurs, parce que l'élevage est particulièrement en difficulté dans notre pays aujourd'hui.