question que nous vous savons attaché à résoudre, monsieur le garde des sceaux.
Les dispositions relatives à la justice environnementale demeurent timides et sont, pour la plupart, renvoyées à d'autres véhicules législatifs.
Nous avons bien noté les déclarations de la ministre de la transition écologique – dont je ne remets pas en cause les convictions – au sujet de la création d'un crime d'écocide dans le droit français, même si M. le garde des sceaux a un peu calmé les ardeurs en la matière.