Pour toutes ces raisons, ces retards sont tout simplement inacceptables, surtout quand ils sont le fruit de pratiques délibérées, mais également quand ils sont liés à une absence manifeste de soin apporté au fait de payer ses partenaires dans les temps.
L'État est donc mobilisé pour garantir le respect des délais de paiement, en tant que payeur ainsi qu'en effectuant des contrôles et en proposant un accompagnement adapté.
Plusieurs parlementaires ont évoqué les retards de l'État. Or il a pris ses responsabilités en tant que payeur. En l'espèce, je confirme mon accord avec les propos de M. Bernalicis.